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- amélioration des modèles de combustion pour la LES,
- cinétiques réduites et représentatives pour la formation des polluants (NOx),
- interaction cinétique chimique – turbulence,
- coût de calcul acceptable (compatible avec l'utilisation intensive),
- prendre en compte les aspects diphasiques,
- propulsion aérobie et spatial : carburant phase liquide, gouttes,
- développer une méthode précise de calculs de plus en plus proches des configurations réelles (grand nombre de Reynolds, complexité géometrique - effets technologiques, …).
